RETROUVEZ BIENTÔT LE TEXTE INTÉGRAL DE ZYKË L’AVENTURE EN ÉDITION PAPIER. NE SONT DÉSORMAIS LISIBLES SUR CE BLOG QUE LES ÉPISODES 01, 09, 16, 19, 29, 35 ET 44…
RETROUVEZ BIENTÔT LE TEXTE INTÉGRAL DE ZYKË L’AVENTURE EN ÉDITION PAPIER. NE SONT DÉSORMAIS LISIBLES SUR CE BLOG QUE LES ÉPISODES 01, 09, 16, 19, 29, 35 ET 44…
13 commentaires
Le confort,ça endort les consciences.
Et pour pouvoir tout remettre en jeu :aucune attache!
Et aucune peur de perdre quoique ce soit.
Super ,le parallèle avec le descriptif littéraire de cette société bourgeoise du XIX ème où chacun a besoin de se rassurer sur l’éclat de son reflet et vérifier la permanence de son ego!(pour moi:du Balzac en filigrane!)
Pas grande chose de changé finalement,à part le temps qui a passé…
Oui,Zykë le sorcier,car il interroge chacun sur l’exercice de son libre arbitre!
Et c’est bien ce qu’il a pointé,par le témoignage de sa propre vie et sa dernière dédicace dans Oro § co.
Le cargo:ça me met déjà en appétit!
Merci Mr Poncet!
Je n’arrive toujours pas à piger pourquoi ce livre n’a pas trouvé l’approbation d’un éditeur… ce sera sans doute plus clair quand on sera au chapitre » Charlie déboule à St Michel » ?
En tout cas bravo pour ton regard lucide sur la bourgeoisie expat, relent amer du « temps béni des colonies « .
Si la traversée évoquait de façon limpide 100.000$ au soleil, le séjour à Abidjan suggère l’excellent Coup de Torchon de Bertrand Tavernier, avec Noiret, Marielle, Eddy Mitchell, Isabelle Huppert… Une idée pour un prochain script-Quizz ?
J’adooooooore !!!! J’ai hâte de lire la suite !!!! Vite vite Thierry. Lol. Merci !
https://www.youtube.com/watch?v=8e3GHk_eiio
c’est pou’ se weplonger dans l’ambiance camawade !
Il ne suffit pas de voyager pour avoir quelque`chose a dire. Zyke était un aventurier dans les actes mais aussi dans l`ame. Il avait donc des aventures a raconter mais il se racontait surtout lui-meme car ses nombreux lecteurs revaient d`etre quelqu`un comme lui et donc se projetaient en lui en le lisant. Bref, aventurier et voyageur, c`est pas quif-quif. Il y a aussi de beaux récits de voyageurs qui ne sont pas aventuriers -par exemple Nicolas Bouvier- mais eux ont le talent de raconter la vie de ceux qu`ils rencontrent au cours de leurs voyages. Ce qui fait aussi beaucoup pour tuer le roman et le récit de nos jours, c`est que la grande majorité de ceux qui sont publiés n`ont en fait strictement rien a raconter, ni aventures ni surtout eux-memes (car humainement ils sont vides). Et comme ca ne les empeche nullement de raconter le rien, ils ne font que tuer l`écriture sans meme sans rendre compte. C`est peut-etre pour avoir vite compris ca, que Zyké méprisait royalement le monde de l`édition. Qu`est-ce que t`en penses Zyke, qui est surement toujours en vie quelque part au-dela des conneries d`ici-bas?
Pas pu dormir cette nuit a cause de la tempete magnétique (je vis en ce moment sur un rocher pourri qui dérive entre deux lunes de Jupiter), alors j`ai parcouru ce roman-fleuve. Je sais que vous n`en avez rien a cirer de mon avis Thierry, mais j`ai idée que les cons d`éditeurs qui l`ont refusé le trouveraient tout a fait potable si le style n`était pas aussi lourdingue, un peu genre « Fleuve Noir » des années 70… Rien ne vaut la simplicité en matiere de style. Faire simple et autant que possible évocateur sans « faire genre », c`est ca l`art d`écrire… Si je l`avais, moi aussi j`écrirais hehe…
Rien à cirer ?
Vous voulez peut-être dire : indifférent…
Dès les premières lignes du chapitre 02, la présentation du narrateur, il est indiqué que celui-ci est un fan des Fleuve-Noir des années 70, que son impécuniosité lui fait piquer chez le bouquiniste du coin de sa rue. G.J. Arnaud, Dard, Ropp… Une pincée de Lautner dialogué par Audiard… je milite ardemment pour le retour (enfin !) d’une littérature mitonnée au qui-tient-au-corps, au gouleyant, au gras qui tache, au calembour-moi-la-panse. Chez moi, on n’est pas chez Gallimard, mais, gars, on lit et on se marre !
A vrai dire, ça me fait drôle : depuis le lancement de ce blog, c’est le premier commentaire un peu critique. Alors j’en profite, m’sieurs dames : n’hésitez pas, surtout ! Cette rubrique est faite pour qu’on s’y exprime, et en toute liberté. Donc, merci, Jean Murat, en vous souhaitant soit de mieux dormir soit de lire du mieux la nuit prochaine.
A votre service, messire l`écrivain! Je n`ai fait que vous donner mon pas humble avis, que je partage d`ailleurs entierement. Ce que vous en faites apres, c`est plus mes rognons. La nuit prochaine j`espere bien la passer a ronfler, Ganymede va enfin rentrer en conjoncture galacticométaprostatique avec Adrastée et me protéger de la déferlante magnétique. Que les démons de l`écriture vous aient en leur garde!
Allons y alors !!
De : Un froissement d’herbe à Argleu ! J’ai pas vraiment accroché…Des fois certes, ça traine dans les détails mais c’est éditable à donf.
Oui en fait ici il semble qu’il y ait plutôt des fans de littérature popu « à la Juan Carlos » de Oro, genre style direct, phrases courtes et percutantes avec métaphores grassouillettes et parfois auréoles sous les bras – reprenons par exemple le célèbre « j‘étronne » de Cizia actuellement à l’étude chez nos confrères de l’Académie..
Bref on ne se prend pas la nuque avec les tournures alambiquées qui font bien au dos des faux liots ou autres gali ( j’en ai ) marre, il nous arrive aussi de faire des concours de jeux de mot qui seraient immédiatement sanctionnés par l’almanach Vermot et dont nous avons quelques spécialistes redoutés dans toute la Franche-Conté ( sans nommer personne ils se reconnaitront ! )
Bon voilà, alors bien sùr je n’ai pas le style ampoulé de Thierry qui fut à la bonne école de la Brigade Mondaine mais cela dit je me délecte de relire de temps en temps un San Antonio sans pour autant dédaigner Céline ou Stéphane Zweig.
Dans ces lignes j’ai lu ta gentillesse decrit dans le paragraphe d avant avec bob le Bordelais, qui méritait sa trempe, car qlqe chose me dit que si Zyke serait passé par Abidjan avec toi 2 3 jupes auraient été très certainement soulevées et une belle zizanie aurait marquée les esprits.
J ai lu aussi que tu as été piqué et tu ne pouvais plus que rajouter une expérience à ce trip en prenant un paquebot plutôt que un taxi et un avion c est ça? E ben t avais raison. 🙂
Dans ces lignes, je constate que malgré le temps écoulé et les expériences vécues tu comptais bien rentré retrouver celui qui t avais mis un pied à l étrier alors que rien ne t obligais si ce n’est que ta parole donnée.
Vivement demain que je lise la suite, je me suis menti je peux pas attendre que tout sorte …