Les pantins khmers

  Nous naviguions à bord d’un break Peugeot sans âge ni vitres, rafistolé un million de fois, haut perché sur ses boudins lisses, au toit chargé de voiles, de bâches, de décors et de caisses de marionnettes. Caboteur des terres cahotant, feulant et pétaradant, il creusait son dolent sillage au travers de la mer fauve Les pantins khmers

L’Auberge de l’Espérance – 06

  1985, premier retour d’Afrique. Sans le sou, la tête farcie de phrases, les doigts languissant d’un clavier, je me mis en quête d’un lieu paisible où écrire. Ma mère et son mari possédaient dans le Lubéron une villa qu’ils n’occupaient que deux mois par an. J’en sollicitai les clés, ils m’envoyèrent me faire foutre. L’Auberge de l’Espérance – 06

L’Auberge de l’Espérance – 05

  1985, premier retour d’Afrique. Sans le sou, la tête farcie de phrases, les doigts languissant d’un clavier, je me mis en quête d’un lieu paisible où écrire. Ma mère et son mari possédaient dans le Lubéron une villa qu’ils n’occupaient que deux mois par an. J’en sollicitai les clés, ils m’envoyèrent me faire foutre. L’Auberge de l’Espérance – 05

L’Auberge de l’Espérance – 04

  1985, premier retour d’Afrique. Sans le sou, la tête farcie de phrases, les doigts languissant d’un clavier, je me mis en quête d’un lieu paisible où écrire. Ma mère et son mari possédaient dans le Lubéron une villa qu’ils n’occupaient que deux mois par an. J’en sollicitai les clés, ils m’envoyèrent me faire foutre. L’Auberge de l’Espérance – 04

L’Auberge de l’Espérance – 03

  1985, premier retour d’Afrique. Sans le sou, la tête farcie de phrases, les doigts languissant d’un clavier, je me mis en quête d’un lieu paisible où écrire. Ma mère et son mari possédaient dans le Lubéron une villa qu’ils n’occupaient que deux mois par an. J’en sollicitai les clés, ils m’envoyèrent me faire foutre. L’Auberge de l’Espérance – 03